Alors que j’étais à la recherche de nouveaux défis professionnels, j’ai eu la chance de rencontrer l’Agence Ometz. Très vite, j’ai su que cette rencontre serait déterminante. Le soutien q... suite

Alors que j’étais à la recherche de nouveaux défis professionnels, j’ai eu la chance de rencontrer l’Agence Ometz. Très vite, j’ai su que cette rencontre serait déterminante. Le soutien que j’ai obtenu était bien au-delà de mes attentes. Je connaissais l’Agence Ometz de réputation. Mes amis, et aussi les membres de ma communauté, m’avait parlé des services offerts par Agence Ometz. A présent, mon tour était venu de faire appel à leur expertise.

L’Agence Ometz m’a aidé de diverses façons tout au long de ma recherche d’emploi. J’ai eu la chance de rencontrer une conseillère hors pair, qui m’a offert un service personnalisé de haute qualité. A l’écoute de mes attentes, ayant compris ce qui me motivait, Natalie a su me guider durant ce processus. Elle m’a mis en contact avec toutes les personnes de son réseau susceptibles de m’aider. Le fameux proverbe « ce n’est pas ce que tu connais mais qui tu connais» a pris tout son sens.

Le fait que vous soyez une organisation à but non lucratif fait toute la différence. Les services que vous offrez vont au-delà de ce que proposent les autres agences d’emploi. Vous êtes centré sur l’humain et n’hésitez pas à entreprendre tout ce que vous pouvais pour accomplir votre mission : aider votre prochain.

J’ai eu la chance de rencontrer de nombreuses personnes toutes plus formidables les unes que les autres. Ma conseillère a fait un travail extraordinaire, toujours disponible, à l’écoute, et elle a fait de cette expérience un moment d’échanges mémorables. Merci!

Ma façon de rendre à la communauté est de rester à l’écoute des besoins des autres. A mon tour, j’espère tendre la main qu’on m’a tendue…d’autant plus que je sais par expérience que l’Agence Ometz a un sens hors pair du client. cacher

Kathy Assayag était une enfant en bas âge lorsqu’elle est arrivée en 1968, de Casablanca au Maroc, à Montréal, avec ses parents dans la vingtaine, ainsi que deux frères et sœurs, avec un quat... suite

Kathy Assayag était une enfant en bas âge lorsqu’elle est arrivée en 1968, de Casablanca au Maroc, à Montréal, avec ses parents dans la vingtaine, ainsi que deux frères et sœurs, avec un quatrième enfant en route. La famille ne connaissait personne au Canada. Ils sont arrivés avec à peine plus d'une valise et une appréhension compréhensible. « Vous pouvez imaginer le sentiment de vulnérabilité de mes parents », dit-elle.

Rapidement, cependant, les choses ont commencé à se mettre en place, car les Services d'aide aux immigrants juifs (JIAS) ont joué un rôle capital dans l'intégration de sa famille. «J'étais trop jeune pour comprendre, mais il y avait toute une communauté organisée pour nous aider à nous établir ici », a déclaré Kathy Assayag. « JIAS était l’organisme de coordination, son rôle était de vous aider avec le processus d'immigration et de faire en sorte que vous tiriez le meilleur parti des organismes qui vous seraient utiles. »

La famille est arrivée la veille de Roch Hachana. Cette première année, se rappelle-t-elle, nous avons eu de l’aide pour les vêtements d'hiver et les premiers jouets des enfants. « Vous vous souvenez de ces choses lorsque vous commencez avec très peu. Ce qui était vraiment incroyable pour moi, c'est que durant ces premières années avant que mes parents obtiennent un emploi stable, je pensais que JIAS était un homme », dit-elle dans une entrevue. « Je pensais qu'il était, une personne incroyablement aimante et généreuse. »

« Quand mon père disait : « Je vais rencontrer la JIAS», et revenait à la maison avec des manteaux d'hiver pour nous tous, de nouveaux vêtements, des poupées Barbie pour moi et ma sœur, et des camions Tonka pour mes frères, nous étions ravis », a déclaré Kathy Assayag lors d'un discours émouvant quand elle a reçu les honneurs comme une femme d'action au cours d'un événement de la Fondation Israélienne de recherche sur le cancer en 2012. « Et je me souviens m’être dit : qui est ce Monsieur La JIAS? Quand va-t-il à venir pour un dîner de Shabbat? Je l'imaginais grand, imposant, et ce que nous appellerions débonnaire. » Avec le soutien de JIAS, ses parents ont pu s’établir. «Ils ont travaillé dur, économisé assez d'argent pour acheter notre première maison, et nous avons vite été indépendants, n’ayant plus besoin d'aucune aide. » Et à sa manière, Kathy Assayag a passé sa vie à redonner à la Communauté qui l'a aidée. Et elle n'hésite pas à dire que redonner est plus que rembourser une dette. Pour elle, c'est un privilège. Elle a passé des années à travailler pour le compte de la communauté juive de Montréal, occupé des postes de haut niveau dans la société et d’innombrables rôles de bénévoles, et elle a recueilli toutes sortes de distinctions et récompenses. De 2000 à 2005, elle a été Directrice générale de la campagne de l'Appel juif unifié de la Fédération CJA. Elle a passé les six années suivantes à l'Université Concordia, où elle a occupé la double position de Présidente de la Fondation de l'Université et Vice-présidente de la promotion et des relations avec les diplômés.

Et quand elle est partie pour Concordia, la Fédération CJA l’a contacté pour devenir bénévole. Le premier conseil d'administration qu’elle a rejoint était, vous l'aurez deviné, le conseil de JIAS, en 2005. «Participer à ce Conseil était une façon de redonner, une façon d'essayer de rembourser ce qu'ils avaient fait pour ma famille», dit-elle. JIAS a fusionné avec les Services à la famille juive et Emploi Juif Montréal en 2009 pour former un nouvel organisme, l'Agence Ometz. Kathy Assayag a été invitée à siéger sur son premier conseil d'administration. Elle a démissionné l'automne dernier, mais a continué à faire du bénévolat pour le gala annuel de collecte de fonds de l'organisme, Dessine-moi une étoile, qui aura lieu le 8 avril à la Place des Arts. Parmi ses responsabilités bénévoles, elle est membre du conseil du Centre Segal des arts de la scène ainsi que du conseil du Collège Vanier, où elle est l'un des deux parents élus. Sa fille cadette est à Vanier, la plus âgée étudie la médecine à l'Université de Sherbrooke. Kathy Assayag fait un travail de consultation pour les organismes sans but lucratif et le gouvernement, et elle travaille à temps partiel à la Fondation communautaire juive de Montréal, où elle deviendra Directrice générale en septembre. «J'ai bouclé la boucle», dit-elle, "C’est comme si je revenais à la maison." cacher

Lors de mon travail en tant que directeur des relations publiques de la CSUQ et de Directeur de la publication de la Voix Sépharade, j'ai plusieurs fois l'occasion de fréquenter des professionnels d... suite

Lors de mon travail en tant que directeur des relations publiques de la CSUQ et de Directeur de la publication de la Voix Sépharade, j'ai plusieurs fois l'occasion de fréquenter des professionnels des agences JEM, JFS et JIAS et puis à la suite de leur fusion, Ometz.

Je n'ai pas eu l'occasion d'avoir eu recours aux services de Ometz, mais je suis convaincu que ce serait fort possible d'avoir à solliciter des services pour des personnes qui me sont proches.

Je suis à la retraite de la CSUQ depuis 2 ans après avoir passé près de 21 ans dans le communautaire. Pour m'occuper un peu, j'ai choisi de me lancer dans la traduction de textes anglais vers le français et grâce à mes connaissances parmi les professionnels d'Ometz, j'ai pu devenir leur traducteur. Au cours des textes que j'ai traduit je me suis rendu compte du rôle central que cette agence joue au sein de la communauté juive montréalaise et ce dans plusieurs domaines. J'ai été fortement impressionné pour son action auprès des jeunes à risques, des gens avec des déficiences intellectuelles, des nouveaux immigrants, des jeunes diplômés à la recherche d'un emploi etc.. J'ai été surpris d'apprendre que cette institution fête son 150ème anniversaire et que l'esprit juif d'entraide et de tikun olam est toujours vivant auprès de notre communauté grâce à des bénévoles généreux et des professionnels dévoués. Notre communauté a une chance inouïe de pouvoir compter sur Ometz. J'ai un de mes enfants qui vient de terminer ses études universitaires de 2ème cycle. Evidemment il est à la recherche d'un premier emploi et je l'ai encouragé à prendre rendez-vous avec une conseillère d'Ometz. Il va le faire dans les jours qui suivent et j'ose espérer qu'il pourra avoir avec un peu de chance une porte d'entrée vers le marché du travail.

En m'impliquant, comme je l'ai toujours fait au sein de ma communauté et en participant à certains programmes communautaires. Ce sera un rôle crucial qui devra permettre de préserver le caractère unique et vibrant de la communauté juive montréalaise face aux nombreux défis qu'elle devra relever. cacher

Je suis arrivée en 1965, en provenance du Maroc, avec mon mari et mon fils. Malheureusement les choses sont devenues difficiles avec mon mari et nous avons dû nous séparer. Cela a été un grand ch... suite

Je suis arrivée en 1965, en provenance du Maroc, avec mon mari et mon fils. Malheureusement les choses sont devenues difficiles avec mon mari et nous avons dû nous séparer. Cela a été un grand choc pour mon jeune fils de 3 ans qui ne comprenait pas ce qui arrivait à sa famille. En 1968 j’étais seule pour assurer le quotidien, l’éducation de mon fils et je devais travailler. J’ai décidé alors de chercher de l’aide pour lui et j’ai été recommandée par une connaissance à ce qui s’appelait alors « Les services à la famille juive de l’institut Baron de Hirsch ». Un petit bureau sur Van Horne, avec deux personnes, dont celle qui s’est occupée de moi.

Ce dont je me rappelle c’est de l’accueil chaleureux, du support moral, de l’aide émotionnelle, de l’empathie de cette personne. Elle a été mon introduction dans la Communauté. Sa première action pour mon fils a été de l’inscrire gratuitement à un camp de jour. Elle nous a aussi recommandés auprès d'un psychologue à Ste Justine.

À cette époque je travaillais dans un contexte difficile qui ne respectait pas les employés. Ma conseillère m’a informée sur mes droits et donné les ressources pour les faire respecter. Son support a été inestimable. Nous sommes ensuite restées longtemps en contact et elle est venue à la Bar Mitsvah de mon fils. Je garde un excellent souvenir d’elle !

J’ai depuis ce temps toujours participé à des actions bénévoles au sein de la Communauté. Pendant 12 ans j’ai été représentante de la Communauté sépharade du Québec auprès du CA des Services à la famille juive, maintenant intégrés dans l’Agence Ometz. Aujourd’hui encore on m’appelle souvent pour distribuer des repas, lever des fonds, collaborer avec le Centre Cummings pour aînés, ou tout autre besoin. Je réponds toujours avec plaisir !

Mon ressenti est que la Communauté dans son ensemble est centrée sur le fait de venir en aide à des personnes durant des moments difficiles de leur vie. Chacun peut un jour en avoir besoin et continuer à tendre la main pour faire une différence dans la vie des gens est essentiel. Sans doute qu’avec le temps les besoins évolueront. Je sais qu’Ometz sera capable de développer des services en fonction de cela! cacher

Deux ans et demi plus tôt, ici, au Canada, votre agence était la première place dans ce pays qui a non seulement contribué à améliorer notre situation financière, mais s’est concentré davant... suite

Notre famille aimerait remercier cette merveilleuse organisation, L’Agence Ometz.

Deux ans et demi plus tôt, ici, au Canada, votre agence était la première place dans ce pays qui a non seulement contribué à améliorer notre situation financière, mais s’est concentré davantage sur notre soutien moral. Cela nous a aidé énormément à survivre aux difficultés des premières étapes de l’immigration au Québec. Merci beaucoup pour votre participation, de votre aide et pour la bonne attitude!

Cette femme remarquable, Natasha Sosunov, notre agente, a pris la partie la plus importante dans a résolution de nos problèmes d’immigration. Nous sommes très reconnaissants, Natasha, de votre compréhension, de votre compassion, de votre capacité à soutenir, et aussi, pour avoir été là pour nous.

L’Agence Ometz restera toujours pour nous un petit morceau d’Israël : ensoleillé et chaud, sincère et amicale. Un morceau de seul endroit au monde, qu’on peut appeler « la maison »… Les bons souvenirs de vos soins réchaufferont toujours nos cœurs! cacher